LA BIENNALE PARIS

11 septembre - 17 septembre 2017
Stand S31
Grand Palais
Un jardin d’Eden
par Camille ROCHE, Rembrandt BUGATTI, Georges-Lucien GUYOT et Charles ARTUS
Focus sur Les Jardins de la Mortola
par Camille ROCHE
Du 11 au 17 septembre 2017, à l’occasion de la 29ème édition de la Biennale des Antiquaires, la Galerie DUMONTEIL présente une série de pièces exceptionnelles sur le thème du paradis terrestre.

Au mur, les « Jardins de La Mortola » de Camille ROCHE, créant un univers de verdure en trompe l’œil, peuplé d’une série de sculptures d’animaux mis en scène sur des socles au cœur d’une terrasse de bois blanc et graviers rappelant les espaces extérieurs des jardins de la Villa Le Roc.

Au centre de son stand, la Galerie DUMONTEIL présente une de ses oeuvres phares, un ensemble de neuf panneaux en bois réalisé par l’artiste Camille ROCHE à la peinture à l’huile qui illustre les célèbres Jardins de la Mortala. Créé pour la Villa Le Roc, propriété de Lord et Lady Cholmondely à Juan-les-Pins en 1937, il sera dévoilé pour la première fois en France.

Aux côtés de ces panneaux seront présentées des sculptures magistrales en bronze d’artistes emblématiques de la galerie : Rembrandt BUGATTI, Georges-Lu- cien GUYOT et Charles ARTUS. Exotiques, sauvages ou domestiques, les animaux animeront ce jardin.

Parmi eux, après avoir passé plus de trente-cinq ans dans une collection privée importante, « Deux éléphants se suivant » de Rembrandt BUGATTI, célèbre sculpteur animalier du XXe siècle, seront dévoilés au public. La ciselure et la patine soulignent chaque détail de leur musculature et traduisent leur puissance et leur mouvement. Il s’agit de la seule œuvre de l’Artiste qui représente deux éléphants adultes.

L’ « Orang-Outang » de Georges-Lucien GUYOT fera également partie de cette faune. Alors que sa main droite agrippe fermement la base, l’imposant animal semble reposer sa patte gauche, la paume dirigée vers le ciel. Son regard grave sou- ligne sa puissance et attire l’attention du spectateur, semblable à un sage antique. Il existe à ce jour moins de 10 exemplaires répertoriés de cet « Orang-Outang », fondus par Meroni Radice et par Susse Frères ; l’exemplaire exposé appartient à une collection privée depuis plus de 25 ans.

Troisième pièce magistrale et inédite, le « Paon » de Charles ARTUS est une œuvre signi cative de par son sujet représenté en taille réelle. Outre sa patine remarquable qui renforce son caractère unique, sa longue queue dessine une courbe élégante tombant jusqu’au sol. Provenant directement de la collection privée du neveu de Charles ARTUS, il sera également révélé au public.
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